top of page

Résultats de recherche

82 éléments trouvés pour «  »

  • Les livres des ateliers éros sont arrivés !

    A chaque groupe, son livre ! Ces recueils regroupent les textes les plus savoureux de la saison 2022-2023 Bravo aux plumes des ateliers Éros.

  • Stage "les effets spéciaux" et discussion avec Inès Berdugo, réalisatrice

    22 au 24 octobre 2023 découvrez le stage "effets spéciaux", animé par Inès Berdugo. Nous avons discuté avec la réalisatrice Inès Berdugo, l'intervenante du stage "effets spéciaux" pour en savoir plus sur ses inspirations, les ambitions du stage, et mieux connaitre les techniques et le matériel utilisés pendant le stage. Dans cet article vous découvrirez qui est Inès, sa vision du stage ainsi que des images du stage précédent pour avoir une meilleure idée des réalisations possibles. Nos questions à Inès sur le stage : A qui s’adresse ce stage « les effets spéciaux » ? Ce stage s’adresse à tous les curieux et passionnés de cinéma qui souhaitent réaliser leur propre film. L’objectif du stage est de mettre en images l’univers de chaque participant et d’appréhender ensemble les techniques de l’animation en volume. Le stage "Les effets spéciaux" a été créé sur mesure pour les adolescents entre 12 et 15 ans. Quels outils utilise-t-on durant le stage ? Nous utilisons une multitude d’outils : crayons, feutres, peinture, ciseaux, colle, « patafix », pâte à modeler, fil de fer, fond vert, appareil photo, lumières, logiciel de montage… De l’idée à la réalisation, les participant·es sont invités à toucher à tout pour exprimer au mieux leurs univers et leur créativité. Quelle est la différence entre le stop motion et le fond vert ? La technique du stop motion consiste à mettre en mouvement une série d’images fixes par le déplacement imperceptible d’un objet ou d’un personnage. On utilise le fond vert pour intégrer une personne, un personnage ou un objet dans le décor souhaité. Pourquoi le vert ? Car c’est la couleur la plus éloignée des tons de la peau humaine, ce qui facilite le découpage. Peut-on continuer chez soi après le stage ? Bien-sûr! C’est totalement l’idée de ce stage ! Transmettre l’envie et les ressources nécessaires pour réaliser d’autres films chez soi. Pour en savoir plus sur Inès : Quels sont tes projets en tant que réalisatrice ? Accompagnée par ARTE et la société de production Pandora création, je prépare une série documentaire décalée qui explore le monde du funéraire. Je travaille également sur un projet de film autour de la calvitie qui s’appelle Les golfes se creusent. Quel est ton film préféré ? Difficile de répondre à cette question, mais je dirais peut-être La Science des rêves du réalisateur et poète Michel Gondry, qui m'inspire énormément. Quel est ton film en stop motion préféré ? Sans doute Ma vie de Courgette réalisé par Claude Barras. L’histoire raconte l’entrée d’un petit garçon dans un orphelinat. Il aura fallu près de 10 ans au réalisateur et son équipe pour aller au bout de ce film magique, entièrement réalisé en pâte à modeler. J’ai été profondément marquée par la singularité de chaque personnage, leur manière de se mouvoir, de nous émouvoir et de nous faire rire ! Pour en savoir plus sur le stage "les effets spéciaux" :

  • Boxe, écriture, peur, joie, plaisir

    Un très bel atelier Boxe & Ecriture a eu lieu chez Micadanse samedi 23 septembre 2023. La partie boxe, animée par Rodolphe Lanfranchi, a permis aux débutant·es d'expérimenter leur "petite frénésie" et aux plus expérimenté·es de "mettre de la conscience" dans leur boxe. Nous avons alterné des temps de boxe et d'écriture tout au long de l'atelier pour permettre de lier corps et esprit avec un temps de round alterné Boxe / écriture / boxe / écriture. La consigne était : journal d'un corps qui boxe. Durant tout l'atelier, l'écriture, menée par Emmanuelle Jay, était dédiée au thème des émotions. De la peur à l'indécision, en passant par la pression, les formes poétiques ont permis à chacun·e d'écrire dans des registres allant de l'écriture de soi à la fiction. Les textes étaient pleins d'émotions : éloge de la peur, hommage à la petite frénésie et à la grande fureur, en passant par l’écriture qui n’a plus le cafard, et les notes de service de la grande entreprise qu’est notre corps… Belle boxe et beauté des mots. Émotions et corps en mouvement. Merci aux habitués et aux nouveaux nouvelles. Toujours hâte de la suite ! #boxe #ecriture #boxing #boxetherapie #psychocoporel #micadanse #corps #mouvement

  • Palmarès du concours de poésie érotique

    Concours de poésie érotique « Peinture et corps, quelle est la couleur du 7ème ciel ? » Un concours organisé par Éros Ecriture Erotique en partenariat avec Blash is the new art. Membre du Jury : Le Son du Désir, Eros Ecriture Erotique et Siel te plait Palmarès : 1er prix : Haïku, Philippe Minot 2e prix : Sombre étincelle, Viviane Louvo 3e prix : Jaune, Isabel Bartel Mention spéciale du jury Eros : URO, Nicoch La suite du top 10, classé dans l’ordre : Mélange des corps, Gilles Meina Les couleurs de l’amour, M. de Robert Désigramme, Corine Sylvia Congiu Au paradis l’heure de l’orgasme, Clo de K Loin de ton atelier, Geneviève Augé Sans titre, Miss Bethy 2.0 Un mot du jury : Bonjour à toutes les plumes, Tout d’abord un grand merci à vous toutes pour votre participation. La lecture de vos 144 poèmes fut un délice. Après ce long moment d'attente et de suspens, nous sommes très heureux·ses de vous communiquer les 10 poèmes finalistes du Concours de poésie sur le thème Corps et peinture organisé en partenariat avec Blash in the new art. Les 10 poèmes finalistes ont été retenus pour leurs qualités stylistiques et esthétiques, leur lien avec le thème et l’univers de Blash, pour leur audace parfois, et surtout pour l’érotisme qui s’en dégage. Nous avons longuement débattu car le niveau du concours était au rendez-vous. Vous départager a soulevé bon nombre de questions littéraires et artistiques ! Et voilà ! Bravo aux 10 plumes finalistes et également à toutes celles qui ont participé ! Nous tenons à remercier toutes les plumes pour leur créativité et nous invitons chacun·e à continuer d’écrire sur ce thème au combien délicat et délicieux de l’érotisme. Le Jury du concours.

  • Atelier d'écriture érotique et coaching mise en voix à Paris

    📣 MON FANTASY ✨️ UN WEEK-END ÉROTIQUE À MONTMARTRE PARIS 🥂 Sectacle + atelier d'écriture + coaching mise en voix 🎙 Découvrez votre monde érotique avec @eros_ecriture_erotique @juliapalombe et @lesrituelles Un spectacle le samedi, suivi le dimanche d'un atelier ludique et créatif placé sous le signe de la culture érotique dans l'antre chic montmartrois Les Rituelles. 🔺️ samedi 14 et dimanche 15 Octobre 📩 Infos & inscriptions [ #earlybird tarif réduit si vous vous inscrivez avant le 24 Septembre ]

  • Concours de Poésie érotique 2023 sur le thème "Peinture et corps"

    Pour la troisième année consécutive, Eros écriture érotique lance un concours de poésie érotique en partenariat cette année avec Blash is the new art et le Son du désir [nous préparons actuellement l'édition 2024] Pour cette troisième édition, le concours de poésie érotique organisé par Éros atelier d’écriture érotique entre en partenariat avec Blash is the new art et le son du désir sur le thème « Peinture et corps, quelle est la couleur du 7ème ciel ? ». Les participants se sont laisser inspirer par la kit « Blash » (offert comme 1 prix par notre partenaire) ou d’une manière plus générale, par le thème Peinture et corps. Les participant·es ont été créatif·ves et ont osé explorer la matière, la sensualité, la sensorialité, l’art, les couleurs, les genres, les lieux, le jeu, la transgression... Pour plus d'écriture poétique et érotique, renseignez-vous auprès des ateliers d'écriture éros.

  • Interview de S'iel te plait, nouvelle animatri'X chez Éros écriture érotique

    Nous avons pu échanger avec Victoria aka S'iel te plaît au sujet de son arrivée chez Éros écriture érotique. « S'iel te plait », peux-tu te présenter en quelques mots ? Et bien, je suis Victoria, j’ai 28 ans et je vis à Rennes. J’écris et je lis depuis toujours. Et donc, je fais en sorte que ma vie soit ponctuée de récits d’inventions que ce soit grâce à la lecture ou l’écriture. J’aime que les mots créent des images, et vice et versa : j'aime que les images conduisent aux mots. Il faut dire que j’aime aimer, au sens large. D’où te vient ton goût prononcé pour la littérature érotique ? La littérature a façonné mes premiers désirs et elle a continué à nourrir la curiosité que je ressens pour les corps depuis petite. L’envie charnelle et la sexualité sont souvent soumises à une censure mais il y a à la fois tellement de façon de dire ou de vivre le désir alors qu’on ne connaît parfaitement que le sien. Lire de l’érotisme m’ouvre les portes d’une étude anthropologique et sociologique des plus excitantes et les mots de l’intime, qu’ils soient miens ou non, me placent, dans une position de voyeuse / exhibitionniste que j’adore. Tu as organisé régulièrement des soirées dédiées à la lecture érotique à Rennes, quel était le but ? Peux-tu nous en dire plus sur ces soirées ? La voix compte beaucoup pour toi ? Bien sûr, avec joie ! L’idée derrière ces lectures qui se referont certainement de temps en temps, était de partager des mots ; parce que ça fait bien trop longtemps que la majorité des gens ne se font plus lire d’histoires. La lecture à voix haute apporte une dimension différente, oui ; elle est un partage, elle offre une chaleur et on parle de voix caressantes, elle est donc toute conseillée à mon avis pour des lectures érotiques ! Le fonctionnement était le suivant : je choisissais un ou plusieurs extraits d’une œuvre tout en essayant de ne pas lire deux fois de suite des œuvres de la même époque ou qui décrivaient une même orientation sexuelle par exemple (pour varier les plaisirs !). Je lisais pendant 30 à 45 minutes, parfois sans réelle pause, parfois avec de rares commentaires pour amener à la réflexion, puis s’en suivait une discussion sur le fond ou la forme de ce qui avait été lu : un style plaisant ou non, des formules merveilleuses ou dérangeantes, des parallèles avec d’autres œuvres, des questionnements quant à la portée féministe ou queer de l’œuvre… etc C’était intime, intimidant et très agréable à la fois. Tu as été plume d’éros et tu vas désormais animer des ateliers d’écriture, qu’est-ce qui t’a donné envie de passer de l’autre côté ? Dès le premier atelier passé avec Emmanuelle, j’ai su qu’un jour moi aussi j’organiserais des ateliers d’écriture. J’avais déjà dans l’idée de faire de l’érotisme une partie de mon activité et ces ateliers qui sont une motivation parfois nécessaire pour écrire, qui permettent une écoute de l’autre, qui donnent confiance, qui amènent des échanges de références, des conversations littéraires, des partages d’opinions, d’expériences parfois intimes… ça m’a de suite convaincue. Comment se déroule un atelier d’écriture en ligne avec toi ? Je vais garder le fonctionnement d’Emmanuelle qui me semble idéal, c’est-à-dire que je proposerai des ateliers de 3h avec différentes consignes et un temps d’écriture à respecter avant que chacun·e lise sa création aux autres. D'ailleurs, nous penserons et fabriqueront les consignes avec Emmanuelle, ensemble. Les plumes auront la possibilité de ne pas lire un de leurs écrits une fois par séance pour des raisons qui leur appartiendront et entre deux ateliers une consigne sera donnée et l’écrit sera lu par un·e plume du groupe au début de l’atelier suivant ; ce n’est pas un exercice toujours évident mais il est très intéressant. Peux-tu nous parler de ta propre pratique de l’écriture érotique ? La plupart de mes écrits, terminés ou non, sont au chaud dans mon disque dur, je réponds à certains appels à texte et j’ai sorti un modeste fanzine avec quelques-uns de mes récits et poèmes. Pour le reste, je publie un peu sur Instagram (@s_iel_te_plait) lorsqu’une idée survient ou pour des occasions spéciales comme ça a été le cas pour le moi de mai qui est le mois de la masturbation. Qu’as-tu envie de faire travailler aux plumes des ateliers d’écriture Éros ? Quelle serait un peu ta philosophie des ateliers ? Je veux éveiller des idées plus folles que sages dans la tête et le stylo (ou le clavier) des plumes de l’atelier. Je n’ai pas pour but d’enseigner l’écriture, d’ailleurs s’apprend-elle, je ne le crois pas. Je veux que grâce à la poésie, au récit, grâce à l’art en général, chacun·e se révèle, joue avec la langue, soit content·e de soi, puisse retravailler son texte ou mettre d’autres mots sur une même consigne une fois l’atelier terminé. J’aimerais si c’est nécessaire, faire perdre le jugement souvent sévère que l’on a de ses écrits pour que chaque plume regagne un peu de l’innocence qui nous manque souvent en tant qu’adulte. Une innocence obscène, l’idée est chouette, non ? J’aimerais, je crois, simplement encourager l’écriture de textes séduisants qui plaisent à leurs auteur·ices. Que dirais-tu aux plumes timides qui n’oseraient pas rejoindre les ateliers ? Si on se pose la question, c’est qu’on a déjà la réponse. Qu’elles sautent le pas car il n’y a pas besoin de se sentir « légitime », la simple envie d’écrire suffit et c’est une vraie petite consécration que d’écrire et de lire ses textes. L’idée n’est pas de sortir un texte parfait, ni d’être tout à fait fier·e de sa création sur le coup ni peut-être jamais, l’idée est de tenter, d’oser, d’écrire, d’effacer, de s’amuser, de savoir que les possibilités, que les façons d’écrire sont multiples, de s’enrichir des autres, d’évoluer soi-même, de découvrir mille et un fantasmes… ! En savoir plus sur les ateliers : éros écriture érotique

  • Interview avec Avril Dunoyer pour le stage "Filmer la danse"

    Nous avons rencontré Avril Dunoyer, photographe. Elle nous parle de son stage "Filmer la danse" troisième volet du projet "Filmer la création" Filmer la danse : du 3 au 7 juillet pour les 12 à 14 ans et du 10 au 14 juillet pour les 15 à 18 ans Peux-tu te présenter en quelques mots ? Je suis photographe à Paris et je donne des stages de vidéos et de Photos dans l’association images et mots Qu’est ce que “Filmer la danse” ? Le stage s’inscrit dans un cycle plus large qui s’appelle filmer la création : et j’ai eu l’idée de proposer comme thème au long court de découvrir l’art vidéo, mais aussi l’art les arts vivants en général. Il s’agit de faire des reportages, des petits documentaires et des séquences filmées sur des créations, au sens large, en train de se faire. Notamment, pour le moment, des créations théâtrales et chorégraphiques. On a commencé par deux films documentaires sur l’univers du théâtre, où il s’agissait de documenter la création d’une pièce et le fonctionnement du théâtre. Et là j’avais envie de filmer la danse, en travaillant avec une danseuse, Garance Silve, qui va créer une chorégraphie sur un morceau spécialement créé pour le stage par de jeunes musiciens. Les stagiaires vont filmer Garance en train de chorégraphier et de danser sur ce morceau. La forme du film sera plus ouverte que les stages précédents. Elle sera au libre choix des stagiaires, à partir de la séquence dansée et d’un entretien filmé. Ils pourront réaliser s’ils le souhaitent un documentaire, ou une forme plus abstraite, plus proche du clip. L’une des inspirations du stage est le travail du réalisateur Jeco, qui filme des danseurs évoluant dans la ville ou à ses frontières. Pour qui est le stage ? Ce stage s’adresse à des adolescents de 12 à 18 ans en deux groupes, de 12 à 14 ans ainsi que de 15 à 18 ans, pour que les jeunes travaillent avec des gens de leur âge et que les groupes soient fluides et homogènes.Le stage s’adresse aussi bien à des gens qui n’ont jamais touché un appareil photo ou une caméra, à des gens déjà aguerris dans ces domaines. A partir d’une même matière, chacun pourra avancer à son rythme. Les stagiaires pourront travailler des formes plus ou moins complexes au montage en fonction des notions qu’ils maîtrisent déjà. Qu’apporte le groupe à l’individu et vice-versa ? Les deux sont intéressants - c’est très intéressant de faire son film tout seul parce qu’on est seul maître à bord et on maîtrise sa propre matière, et donc on n’a pas à débattre à chaque choix esthétique; souvent les stagiaires aiment beaucoup. Après dans le collectif c’est hyper intéressant de savoir travailler ensemble, de justement débattre pour nourrir le projet. Le collectif aussi c’est drôle ; quand on travaille à 5 ou 6, on rit beaucoup, il y a des moments de lâcher prise qui sont précieux. Et donc on devient le temps du film une bande d'amis - et c’est aussi ça le cinéma et la vidéo, au-delà du travail se faire des amis qui partagent la même passion. Le collectif donne de très belles choses. Les deux premiers films du cycle “Filmer la création” étaient réalisés en collectif. C’était de gros projets qu’on réalisait tous ensemble mais il y avait quand même de la frustration de ne pas pouvoir constamment toucher les machines et ne pas pouvoir être constamment dans l’acte technique. Donc pour le nouveau volet, « Filmer la danse », j’ai choisi une formule mixte. C’est-à-dire que les stagiaires peuvent rester dans leur bulle et faire le court-métrage dont ils ont l’idée, mais ils peuvent aussi faire appel au groupe, pour notamment les rushes qui vont être mis en commun - toute la matière sonore et visuelle va être mise en commun. Passe-t-on par toutes les étapes de création ? Oui alors ça c’est très important, dans le stage, moi je guide, je donne des pistes et un sujet mais les stagiaires sont totalement impliqués dans chaque étape de la réalisation du film. Je forme sur les appareils afin qu’ils soient peu à peu autonomes. À partir de ce moment-là il va s’agir d’écrire seul ou collectivement le projet, filmer le jour du tournage en utilisant aussi bien un appareil reflex que son smartphone si on a une idée et que le matériel n’est pas disponible. Après on aborde tous ensemble la phase de dérushage, puis le montage où chacun aura choisi sa matière. Je guide et j’explique comment fonctionne le logiciel, et rapidement le stagiaire est autonome. Peut-on continuer chez soi après le stage ? On a les notions techniques et on peut parfaitement à l'issue d’un stage Images et mots réaliser son propre court métrage, en utilisant les outils proposés ou des outils alternatifs. Les bases de la technique de montage peuvent elles aussi être utilisées sur tous les logiciels. Que deviennent les réalisations après le stage ? Les courts-métrages réalisés avec Images et Mots vont pouvoir vivre leur vie sur la toile ; ils peuvent être partagés sur la chaîne de l’association ou même sur la chaîne du stagiaire s’il en a une. Mais ce sont aussi des courts-métrages qu’on peut soumettre à des concours. Les films réalisés pourront être proposés à des festivals de vidéo sur l’année 2024. On verra. D’abord, il faut les faire ! Plus d'informations sur le stage : "Filmer la danse"

  • Les livrets d'atelier 2023

    Les livrets de fin d'année sont arrivés pour le plus grand bonheur de nos jeunes plumes et de notre équipe ! Ces magnifiques livrets sont non seulement l'aboutissement d'un an d'écriture, mais aussi le fruit de la collaboration de nos écrivains en herbe. Chaque groupe s'est réuni pour construire, à son image, son livret. Réunir, revoir et modifier les textes. Décider de la manière dont ils s'imbriquent. Réfléchir et conceptualiser la couverture ensemble. Les groupes Mille et une histoires et Jeux de plumes ont pu compter sur les animatrices d'atelier pour les aiguiller et les aider à donner vie à leurs idées. Une belle expérience, qui leur donne un petit aperçu de ce qu'implique l'édition d'un ouvrage.

  • Conférence d'Emmanuelle Jay, Julia Palombe et Flore Cherry à la librairie L'arabesque

    Ce 8 juin, Emmanuelle Jay, créatrice des ateliers éros écriture érotique, a échangé avec Julia Palombe et Flore Cherry sur les questions de genre dans l'écriture, ainsi que sur les représentations des femmes dans la littérature érotique. Cette rencontre a eu lieu à la librairie du 104 à Paris, L'arabesque. Discussion avec Emmanuelle Jay. Penses-tu que des différences existent dans l'écriture selon qu'un homme ou qu'une femme écrive ? Peut-on parler d'écriture féminine et d'écriture masculine ? Dans les ateliers, j'observe très peu de différences entre les écritures des hommes et des femmes. Ou plutôt, j'observe de nombreuses différences, mais qui ne sont pas dues au genre des plumes, mais plutôt à leur sensibilité. Les univers sont très variés, mais aucune corrélation avec le sexe de la personne. Les femmes comme les hommes savent être crus, brutales, sauvages ; et les hommes comme les femmes peuvent se montrer très sensuels, écrire dans des univers « sacrés » mystiques, métaphoriques. Les plumes s’épanouissent et écrivent fonction de leurs sensibilités, de leurs sexualités, de leur goûts, de leur langue et de leur musique intérieure. Je pense qu'on peut parler d'écriture féminine ou d'écriture masculine mais que cela n'a rien à voir avec le sexe de la personne. Cela aurait à voir avec ce que "culturellement" on place du côté du féminin ou du masculin. Est-ce que les clichés persistent dans l'écriture érotique ? Dans les ateliers on travaille justement la questions des clichés et des représentations. J'essaie, par mes propositions d'écriture, de provoquer une réflexion autour de la représentation des corps ou des relations de domination. Pour enrichir l'univers érotiques de chacun·e ou tout simplement pouvoir partager dans la différence. Cela peut passer par l'exploration d'un texte rédiger entièrement avec le pronom iel, ou d'une consigne qui consiste à érotiser des défauts physiques. Récemment, j’ai constaté qu’il était peut-être plus « acceptable » qu’une femme écrive sur la soumission plutôt qu’un homme. Je pense aussi que les hommes et les femmes ne placent pas la censure de leurs imaginaires aux mêmes endroits. Est-ce que la question de consentement se pose aussi dans les ateliers ? La question du consentement dans les représentations littéraires se posent régulièrement en atelier. Récemment j’ai lu une nouvelle d’Anaïs Nin lors d'un l’atelier pour faire travailler les plumes et un passage a suscité un débat. Deux plumes ont dit avoir été mal à l’aise. Nous en avons discuté. Une autre fois, dans un autre groupe, s’est posé la question du : "peut-on tout écrire ?". Ce débat faisait suite à un texte dont le twist était que le personnage s’apercevait qu’il couchait avec sa mère. Adultère, inceste, scatologie... la question "peut-on tout écrire" est rapidement devenu : "veut-on tout entendre" ? C’était plutôt chouette car la liberté de tout écrire a primé dans le groupe mais nous avons décidé d’utiliser un trigger warning pour les sujets sensibles afin que chacun·e puisse choisir d'entendre le texte ou non. J’ai adopté cette règle en atelier. On suscite le consentement dans la réception des textes lorsqu’on en fait fit dans les écrits ! Quelle est l'importance de la mixité dans les groupes ? J’ai longtemps regretté de n’avoir que des plumes hétérosexuelles dans mes ateliers. À la rentrée 2022, j’ai décidé de donner de donner des noms de romans d’Anaïs Nin à mes groupes : Venus erotica, Les chambres du coeur, Comme un arc en ciel. Des plumes m’ont contactée pour le groupe Comme un arc en ciel pour me demander si le groupe était réservé aux plumes Queer ou Fluide gender. J’ai répondu que tous les groupes étaient pour toutes les plumes, y compris, les plumes Queer ou Fluide gender. Mais j’ai pu constater à quel point le nom de l’atelier était essentiel. Etait-ce un gage de sécurité pour ces plumes ? Autre remarque : par hasard cette année, j’ai eu un groupe 100% féminin. Et cela a changé pas mal de choses. Quand on écrit un monologue du clitoris c’est très différent si l’on est dans un groupe mixte ou dans un groupe de femmes exclusivement. L'auto-censure n'est pas la même. J'ai donné cette consigne dans plusieurs groupes. Les textes des hommes sur le clitoris étaient très drôles ! Pleins d’humour. Ceux des femmes étaient emprunts d’amour et de reconnaissance. Souvenir de la conférence, Flore Cherry, Julia Palombe, Emmanuelle Jay En savoir plus : Atelier Eros écriture érotique

  • Chloé Henri gagnante du 2ème prix du ministère de la culture pour son film.

    Chloé Henri, a remporté le 2ème prix du ministère de la culture du Festival Musée Emportables grâce à son film Regards intimes qu'elle a réalisé lors d'un des ateliers d'images et mots Chloé Henri a ainsi reçu grâce à la victoire du 2ème prix du ministère de la culture du Festival Musée Emportable une récompense de 500€ pour son film "Regards intimes" réalisé dans le cadre des ateliers vidéos de l'association. C'est avec une grande fierté que nous vous invitons à regarder son film. Toutes nos félicitations Chloé

  • Gabriel Mounier gagnant du grand prix du Festival Musée Emportables pour son film.

    Gabriel Mounier, a remporté le grand prix du Festival Musée Emportables grâce à son film Le louvre, la liberté qu'il a réalisé lors d'un des ateliers d'images et mots Gabriel Mounier a ainsi reçu grâce à la victoire du grand prix du Festival Musée Emportable une récompense de 1500€ pour son film "Le louvre, la liberté" réalisé dans le cadre des ateliers vidéos de l'association. C'est avec une grande fierté que nous vous invitons à regarder son film. Un grand bravo Gabriel

bottom of page